Du 5 au 31 août à la Galerie des Petits Carreaux.
A découvrir, les œuvres de Mathieu Arfouillaud et Emmanuel Gomez.
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JUIN 2023
Du 14 au 22 juin
PETIT GRAND ELEGANT
Une exposition conçue et réalisée par des élèves de cinquième.
Des élèves de 5ème du collège Saint Stanislas de Plouer sur Rance choisissent des oeuvres dans le stock de la Galerie des petits carreaux et montent une exposition dans la galerie. Ils réfléchissent sur le sens de leur sélection, conçoivent l'affiche et montent l'exposition!
Avec l'aide de leur professeur d'arts plastiques Morgane Colas
Artistes sélectionnés par les élèves : Pooya Abassian, Léa Bénétou, Pierre Budet, COMBO, Paloma Castillo, Damien Marchal, Delfina Reis Renck, Eva Taulois, Yves Trémorin
JUIN-JUILLET-AOÛT
Du 24 juin au 31 août
Charlotte Vitaioli
FEU ORDINAIRE
Pastels et gouaches brossent les contours d’un paysage flou, chaotique.
A l’horizon des feux ardents émergent de l’océan, et ravivent de vieilles passions.
Je vois des astres égarés s’abandonner dans les bras d’italiennes sulfureuses. Je vois des plages tourmentées embrasser les volcans.
Je vois des flammes venues du large battre l’aurore, pendant que lascif tu me rends un baiser ; Océanique, comme le désir.
Galerie des petits carreaux
Le Grand Vaupiard
Entrée libre sur rendez vous au 0613206190
galeriepetitscarreaux@gmail.com
Et en écho, la Galerie des petits carreaux expose dans son espace de la Ferme du Golf à Lancieux
Du 24 juin au 25 juillet
Joachim Monvoisin
Le Joueur de Pipeau
Joachim Monvoisin, Le joueur de Pipeau
Du 5 au 31 août
Mathieu Arfouillaud et Emmanuel Gomez
Peintures et sculptures
Ferme du Golf
Entrée par le golf de Lancieux, avenue des Ajoncs, 22770 Lancieux
]]>Exposition Ron Haselden- Christophe Rolland
A partir du 27 octobre 2022
La Galerie des petits carreaux présente une exposition en duo : les sculptures- maquettes en fil de laiton et plexiglass de Ron Haselden dialogueront avec les dessins, encres et aquarelles de Christophe Rolland.
Les deux œuvres ont, de prime abord, une légèreté commune ( sculptures aériennes de Ron Haselden, constituées de fils de laiton tendus entre deux plaques transparentes, d'un côté, jeu sur les transparences des aquarelles et des encres de Christophe Rolland de l'autre). Mais pour l'un comme pour l'autre, très vite, quand on "entre" dans les œuvres, l'impression de densité s'impose, celle d'évanescence s'estompe, on est happés par la force du travail.
Les fils de laiton de Ron forment une forêt dans laquelle s'installent d'autres formes comme des cabanes dans le arbres. Les dessins à la pointe d'argent de Christophe Rolland résistent, la matière est métallique, opère comme un miroir. Les formes superposées des aquarelles de Christophe Rolland finissent par devenir opaques. Les formes chez l'un comme chez l'autre jouent avec la répétition : sculptures -maquettes multiples chez Ron Haselden, formes "maison" comme "objet graphique" chez Christophe Rolland se retrouvent d'une œuvre à l'autre. Ces formes familières, identifiables au premier regard, entraînent le spectateur vers la découverte de la richesse des "variations " proposées par chaque artiste. Chaque œuvre est unique et semblable, chaque "variation" offre une surprise, une nouveauté : chez Christophe : encre, aquarelle, pointe d'argent. Le matériau change et l'œuvre est nouvelle malgré la répétition du motif.
Cette forme "maison "générique opère comme un prétexte à la découverte d'un nouveau pigment, d'une nouvelle transparence, ou d'une particulière opacité. Chez Ron c'est la liberté des constructions qui enchante le regard d'une sculpture-maquette à l'autre. Légères et denses, les œuvres de ces deux artistes entrent en résonance, emmenant le spectateur dans la découverte d’infinies variations de formes et de matières.
]]>Celle-ci met en résonance des œuvres graphiques traditionnelles et numériques pour l’un et photographiques pour l’autre, depuis les années 1980 jusqu’à aujourd’hui.
Les deux artistes ont déjà collaboré, en duo à Paris et dans des expositions collectives organisées par la galerie à Saint-Briac. Ils ont eu envie de confronter leurs travaux une nouvelle fois dans une exposition où un devenir du dessin se révèle par de nouvelles manières d’expérimenter les potentialités du tracé pour l’un et d’interroger la matière du réel pour l’autre.
Vincent Victor Jouffe
est né à Dinan en 1968, il vit et travaille à Saint-Méloir-des-Bois, dans les Côtes-d'-Armor.Après des études aux départements de dessin et de gravure aux beaux-arts de Paris et à l'université Paris 8, Vincent Victor Jouffe s'installe en 1994 dans une ancienne ferme : La Ville es Bret. À partir de cette situation de retour au pays natal, il entreprend de constituer un corpus de photographies et de films, en parallèle d'une pratique de dessin autonome. s'y trouvent articulés plusieurs paramètres : théorique, historique, social mais également biographique. Ses œuvres sont présentes dans plusieurs collections publiques dont le musée français de la photographie, le Frac Bretagne, l’école nationale supérieure des beaux-arts. Œuvres visibles sur www.ddab.org/jouffe
Visuel : Cheval Primitif, 2022 dessin numérique sur papier Fine Art 30x40cm
Yves Trémorin
est né à Rennes en 1959. Après des études supérieures de mathématiques en analyse numérique, il décide de se consacre à la photographie.Dès le début des années 1980, avec les premières photographies qu’il réalise de sa compagne Monique ou avec l’ensemble « Cette femme-là » il pose ses principaux axes de travail. Avec une précision d’entomologiste dressant une collection d’objets d’étude, Yves Trémorin développe depuis les années 1980 une œuvre rigoureuse dans ses procédures et ses procédés, utilisant le médium photographique dans sa spécificité propre, isolant ses sujets sur un mode fragmentaire. Mis en scène dans un dispositif paramétré, extraits de tout indice contextuel, spatial ou temporel, affranchis de toute anecdote, ils deviennent, dans ses images d’un extrême dépouillement, autant d’emblèmes, de figures mythologiques ou d’objets symboliques. Œuvres visibles sur www.ddab.org/TREMORIN
Visuel : série Vegetal, 1999, Cibachrome sur aluminium, encadré 1mx1m
A partir du 31 octobre
Sur rendez-vous
Pierre Galopin expose ses dernières réalisations et présente "Salonfäheg" paru chez Filigranes Editions, un projet artistique réalisé en collaboration avec le photographe Laurent Grivet.
Dans l'espace de la galerie des petits carreaux sont présentés les œuvres récentes de Pierre Galopin, dans un dispositif qui rappelle celui de l'atelier : certaines pièces sont accrochées au mur d'autres sont posées sur le sol. On peut à volonté les feuilleter, les manipuler, les poser sur un meuble pour les regarder à loisir.
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A partir du 31 octobre
Sur rendez-vous
Pierre Galopin expose ses dernières réalisations et présente "Salonfäheg" paru chez Filigranes Editions, un projet artistique réalisé en collaboration avec le photographe Laurent Grivet.
"Salonfäheg" signifie littéralement "capable de salon", autrement dit "socialement acceptable" . C'est un adjectif utilisé en allemand, luxembourgeois, danois et anglais.
Ce livre est l'aboutissement d'une résidence mission de Pierre Galopin au Volume de Vern sur Seiche et à l'artothèque de Vitré. Il s'agit de "portraits photographiques de salons" qui engagent une réflexion sur l'introduction du tableau dans l'espace privé.
Durant sa résidence il a cherché à savoir ce qui se passait avec sa peinture une fois qu'elle a quitté son atelier. Il a documenté cette recherche avec ce travail photographique réalisé avec Laurent Grivet chez une soixantaine de personnes. S'ensuit une réflexion sur le salon et ses enjeux : pièce de réception, c'est au salon que se forge l'image sociale que l'on veut donner de soi. Y installer un tableau plutôt qu'une affiche Ikéa, lui donner la place d'honneur au-dessus du canapé ou au contraire le poser négligemment sur un coin de buffet, tout cela a du sens et contribue à valoriser l'endroit choisi. Et sa propre image.
Du point de vue de Pierre Galopin, l'enjeu était aussi de mettre à l'épreuve ses tableaux dans des contextes différents de celui de l'atelier ou de la galerie. Et de jouer avec l'idée du décoratif: mise à l'épreuve du salon, la toile "tient" ou non. Certaines sont écrasées par le décor, d'autres au contraire sont mises en valeur.
Dans l'espace de la galerie des petits carreaux sont présentées les œuvres récentes de Pierre Galopin, dans un dispositif qui rappelle celui de l'atelier : certaines pièces sont accrochées au mur
d'autres sont posées sur le sol. On peut à volonté les feuilleter, les manipuler, les poser sur un meuble pour les regarder à loisir.
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[…] Cette exposition est un nouveau prétexte à faire, à réorienter la pratique, à trouver une autre manière de dire par le faire. Si Damien Marchal a utilisé durant la dernière décennie, le story telling et la géopolitique contemporaine pour analyser plastiquement les notions de passage à l’acte à partir d’événements ou d’histoires, l’artiste choisit ici le frein à main et les graviers afin de franchir le décor dans une embardée chromatique.
Dans cette première expérience purement graphique, il plonge dans le bleu. Le splash aquatique n’apparaît jamais, au contraire. L’onctuosité indigo, presque veloutée, tantôt profonde s’étirant jusqu’à l’usure du feutre sur le papier produit un nuancier de valeurs immenses par le simple épuisement de l’outil sur son support. En un segment court orienté parfois de manière rigide, chaotique, le bleu laisse apparaître la lumière.
Gamme chromatique se réverbérant dans l’océan, voilà probablement ce que cherchait l’artiste. […]
Etienne Balldé
]]>Exposition du 3 au 27 juillet 2021
Nikolas Fouré propose "Sommes ciel", une exposition qui prend en compte l'architecture particulière de la galerie, à la fois semi enterrée et éclairée par une lumière zénithale.
"Comme les oiseaux, nous sommes bipèdes et aériens. Comme le sol sur lequel nous reposons, nous habitons le ciel, l'atmosphère est notre milieu. Par rapport à l'horizontalité de nos territoires et leurs représentations cartographiques, le ciel nous paraît toujours vierge, au-dessus et étendu, une immensité inatteignable et commune. Il est pourtant tout à fait construit, mesuré, conquis et traversé. Nous nous déplaçons et communiquons, en partie, en traversant les airs par avion mais aussi via les ondes électromagnétiques (radio, téléphonie, wi-fi). Après la conquête de notre atmosphère par ces technologies (et de façon plus globale par l'industrialisation et la motorisation carbonée), les constellations de satellites envahissent aujourd'hui l'orbite terrestre basse (située juste au-dessus de notre fine pellicule atmosphérique) pour balayer toujours plus efficacement la surface de notre globe et alimenter les clouds qui agrègent nos masses de données. Notre conquête du pétrôle mais aussi d'autres ressources nous emmène de l'autre côté, à descendre de plus en plus profondément dans les couches géologiques profondes. Sol et ciel n'ont jamais été aussi reliés, aussi interdépendants, mais de plus en plus distants. La galerie des Petits Carreaux, enterrée mais éclairée d'une lumière zenithale, attise paradoxalement notre relation à l'au-dessus. Dans cet espace replié, mes propositions mêlant gestes et motifs, construiront de possibles récits : relier l'infime échelle à l'immensité, répéter des gestes comme des gouttes de pluie, récolter des données empiriques et fictives, tracer des lignes d'horizon verticales, cartographier le bleu du ciel, édifier des représentations atmosphériques.." Nikolas Fouré
Exposition de Marinette Cueco pour GALERISTES
]]>La Galerie des Petits Carreaux participe au salon GALERISTES du 23 au 25 octobre 2020 au Carreau du Temple à Paris.
Le travail de Marinette CUECO est présenté dans le secteur "Anthologie de l’art français".
Herbiers, Marinette Cueco
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La Galerie des Petits Carreaux expose trois photographies de Sébastien Reuzé extraites de la série "Colorblind Sands" au Spa Phytomer de Saint-Malo.
Visible aux heures d’ouverture du Spa de 10h à 19h sauf le dimanche.
SPA Phytomer, 70 Bd L’Herminier, Saint-Malo
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Exposition de Gwenn Mérel
]]>Exposition de Gwenn Mérel
du 3 janvier au 5 avril 2020
Vernissage vendredi 3 janvier à partir de 18h
Paysage(s)
Capter les paysages et les environnements que Gwenn Mérel traverse est affaire de posture. Artiste topographique, qui pratique promenades et pérégrinations solitaires, elle déambule, s’arrête, se penche, recueille, scrute et cadre l’« étendue de pays que l’oeil peut embrasser dans son ensemble »1. C’est un univers imperceptible et infime qu’elle ramène au salon et à l’atelier, un glanage qui grandit sa collection, un cabinet de curiosités végétales et optiques. Qu’il soit métonymique ou panoramique, l’horizon qu’elle nous propose d’embrasser est sensible et fugace. Elle capte la lumière, donne à voir des paysages immenses ou un infiniment petit de nature piégée. Gwenn Mérel se joue des échelles pour en tirer la poésie interstitielle des « presque rien ». Un reflet, un angle de vue, une facette pour donner à voir un paysage fragmenté et soumis au cycle des jours, des saisons et des lunes. Des tableaux dont le thème principal est la représentation d’un site champêtre, dans lequel, nous, les personnages, ne sommes a priori qu’accessoires. Un rapport au monde collectif et intime2 par le regard attentif et penché qu’il impose.
1 GARNIER Robert, Hippolyte, Paris, 1573.
2 TIBERGHIEN Gilles A., « Il relève du monde de l’art mais également de la maîtrise du territoire, de l’économie, de la psychologie ou du politique. C’est le lieu de la rencontre avec l’autre à travers la pratique des hommes qui l’ont façonné… Le paysage, c’est notre mode d’accès à la nature le plus immédiat. C’est aussi une image de soi. », Le Monde, 25/12/2001.
Texte de Marie Cherfils
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Exposition de Marinette Cueco
]]>Vernissage dimanche 11 août.
L'oeuvre de Marinette Cueco est consacrée aux végétaux, qu'elle cueille, tresse, assemble en herbiers. Elle utilise également des pierres qu'elle entoure d'herbes tressées et qu'elle nomme "pierres captives". Ce sont en majorité ces pierres captives, et des ardoises "tressées" qui sont présentées à la galerie.
Ardoises, Marinette Cueco
]]>Exposition de Ron Haselden
]]>Exposition de Ron Haselden
du 6 juillet au 6 août 2019
" L'animal, quel mot!
C'est un mot, l'animal, c'est une appellation que des hommes ont instituée, un nom qu'ils se sont donné le droit et l'autorité de donner à l'autre vivant. Au point où nous en sommes, avant même de m'engager ou d'essayer de vous
entraîner à ma suite ou à ma poursuite selon un itinéraire que certains d'entre vous pourraient trouver tortueux, labyrinthique, voire aberrant, nous égarant de leurre en leurre, je tenterai donc cette opération de désarmement qui consiste à poser de façon simple, nue, frontale, aussi directe que possible ce qu'on pourrait appeler, puisque je viens de dire que j'allais poser, non point poser comme on pose avec complaisance en se regardant devant un spectateur, un portraitiste ou une caméra, mais poser des "positions", justement, des hypothèses en vue de thèses." "Souvent je me demande, moi, pour voir, qui je suis – et qui je suis au moment où, surpris nu, en silence, par le regard d’un animal, par exemple les yeux d’un chat, j’ai du mal, oui, du mal à surmonter une gêne. Pourquoi ce mal ?"
Jacques Derrida, L'animal que donc je suis, Editions Galilée, 2006, extraits
RON HASELDEN, sculpteur de lumière.
Depuis plusieurs décennies, Ron Haselden travaille la lumière, que celle- ci soit naturelle comme pour ses structures en fil de pêche construites en plein champ, ou artificielle comme pour ses Light Sculptures constituées de tuyaux de leds dessinant des figures dans l'espace (Luminary à Brighton en 2016 et Lumières, 10 décembre - 4 mars 2018, à la Galerie de Rohan à Landerneau)
Pour les Small Boxes, cette série de petites photographies "mises en boîte" sur laquelle Ron Haselden travaille depuis 2017, il s'agit aussi de lumière et de sculpture. La lumière, c'est celle que capte l'appareil photographique de l'artiste, et le geste du sculpteur est celui du travail de découpe, de pliure, de courbure que Ron Haselden opère sur les tirages photographiques. Mais il s'agit aussi de la question du regard et du statut du regardeur. La dimension réduite des Small Boxes permet un effet de concentration du regard qui se trouve attiré par la source lumineuse captée par l'appareil photographique : la lumière qui émane d'une fenêtre ou d'un sous bois, par exemple. En ce sens, ces petites boîtes agissent comme des pièges : on s'en approche sans défiance, croyant regarder une simple photo et soudain le regardeur se trouve happé par la profondeur de l'image. Tout comme Alice au Pays des Merveilles qui part à la poursuite du lapin blanc dans le terrier, nous sommes poussés par la curiosité et plongeons dans l'image, nous y retrouvant inclus.
"L'animal que donc je suis et autres oeuvres".
Toute autre est l'expérience perceptive que propose Ron Haselden dans sa nouvelle série de Small Boxes : "L'animal que donc je suis et autres oeuvres". Ce titre est inspiré d'un texte de Jacques Derrida intitulé L'animal que donc je suis. L'exposition est accompagnée de deux extraits de cet essai publié en 2006 aux éditions Galilée. Cette nouvelle série propose entre autres des portraits d'animaux : ânes, chevaux, vaches, chiens... que Ron Haselden a croisés dans ses promenades photographiques. Certains d'entre eux nous regardent et ces regards nous renvoient à notre propre animalité créant comme le décrit Jacques Derrida dans le deuxième extrait, un malaise et un questionnement sur notre statut d'être humain et peut-être sur notre prétendue supériorité. Ici, par différence avec les autres Small Boxes, le spectateur n'est invité à rentrer dans l'image que pour en être aussitôt exclu: le regard de l'animal agit comme un miroir, qui nous interroge en toute innocence sur notre propre identité d'humain, comme le fait la grande photo "autoportrait dans un miroir" que Ron Haselden a réalisée pour cette exposition. Avec humour, l'artiste s'est photographié en train de se photographier devenant ainsi le sujet qui regarde le photographe, comme le font l'âne, la vache ou le cheval : l'animal que donc je suis... Si il y a un chemin à parcourir à la rencontre de l'animal, c'est comme le dit Jacques Derrida : "un itinéraire que certains d'entre vous pourraient trouver tortueux, labyrinthique, voire aberrant, nous égarant de leurre en leurre"... Où l'on retrouve Alice au Pays des ... leurres?
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Exposition de Léa Bénétou et Bruno Fontana
]]>Exposition de Léa Bénétou et Bruno Fontana
du 20 avril au 30 juin 2019
Dialogue entre deux artistes et deux univers plastiques qui partagent un intérêt commun pour les formes architecturales. Léa Bénétou utilise le dessin, la sculpture, la peinture, Bruno Fontana par la photographie interroge la relation de l'homme avec le paysage construit.
Le Grand Vaupiard, galerie de Saint-Briac
Plan I, Léa Bénétou
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Congress Centre Litexpo, Vilnius, Lithuanie
Marinière, Pierre Budet
]]>Rendez-vous à Saint-Briac
]]>Parcours d'art contemporain dans tout le village de Saint-Briac
oeuvres de Charlotte Vitaioli, Pierre Budet et COMBO au centre Estran, bourg de St-Briac
Parc de sculptures au Château du Nessay
avec Joachim Monvoisin, Jean-Yves Brelivet et Ron Haselden
Exposition a la galerie des petits carreaux
avec Lea Benetou et Bruno Fontana
Ninfa, Combo
]]>Exposition lors du Art Paris Art Fair
]]>Exposition : Sharon Kivland, Nikolas Fouré, Eva Taulois, Ron Haselden, Léa Bénétou et Paloma Castillo
Nef du Grand Palais
vernissage mercredi 3 avril
stand A19
www.artparis.com
Personnages, Paloma Castillo
Nuage Peau, Nikolas Fouré
]]>Exposition Hazel Ann Watling
]]>Exposition de Hazel Ann WATLING
Résidence du 1er novembre au 1er décembre 2018
A la suite de sa résidence à la Galerie des petits carreaux du 1er au 30 novembre 2018, Hazel Ann WATLING a conçu TRAVERSE une exposition de peintures sur toile et sur tissus inspirées par le mélange de mer et de campagne qui caractérise le paysage de ce coin de Bretagne.
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Exposition collective
]]>Léa Bénétou, Jean-Yves Brélivet, Tito Calderon, Benjamin Deroche, Pierre Galopin, Nikolas Fouré, Ron Haselden, Vincent Victor Jouffe, Sharon Kivland, Yves Trémorin.
Cette exposition collective réunit des œuvres d'artistes de la galerie et d'artistes de la collection Benadretti.
Dessins, peintures et photographies évoquant des espaces intérieurs, réels ou imaginaires, physiques ou métaphysiques... De l’évocation de ces espaces intérieurs naissent poésie et mystère.
Paysages réseaux, Vincent Victor Jouffe
]]>Exposition de Bruno Fontana
]]>Exposition de Bruno Fontana.
Polyptyque, Bruno Fontata
]]>Exposition de Joachim Monvoisin
]]>Exposition de Pooya Abbasian
]]>Cyanotypes.
Discreetly living your face, Pooya Abbasian
]]>International Contemporary Art Fair
]]>Exhibition and Congress Litexpo, Vilnius, Lithuania.
La Galerie des Petits Carreaux présentera le travail de Pierre Budet, Ron Haselden, Nikolas Fouré, Pooya Abbasian et Léa Bénétou.
Sale Gueule, Pierre Budet
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Rendez-vous à Saint-Briac
]]>Exposition collective
]]>Carte, Nikolas Fouré
]]>Sélection d'oeuvres d'artistes femmes
]]>Salon APPROCHE
]]>14 approches contemporaines du médium photographique y sont présentées.
]]>YIA Art Fair
]]>Body Buildé, Combo
]]>Exposition d'artistes sud américains
]]>Vernissage le 7 juillet 2017.
]]>Exposition Yves Trémorin et Tina Merandon
]]>Yves Trémorin
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